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Modèles tout terrain |
Avertissement au lecteur: Les renseignements qui sont donnés ci-dessous concernent les différents types de 1000 et 1200 Laverda dans leur globalité. L’usine utilisait toutefois de façon occasionnelle mais assez récurrente des pièces différentes dans une même série notamment en fonction des aléas d’approvisionnement de la part des sous-traitants. Il n’est donc pas rare que des motos d’une série ultérieure aient été équipées d’éléments moteur ou chassis d’une série plus ancienne, ou que deux motos d’une même série soient légèrement différentes, cela n’étant en aucun cas une preuve de non originalité du modèle. Photos soumises à copyright (Usine Laverda, Famille Laverda, G. Sperotto, A. Zappon, B. Tamiello, JL Olive, reproduction interdite sans autorisation des propriétaires des droits) 1ère partie: Les années 50 et début 60 Les Laverda 75 et 100cc des années 50 étaient avant tout des machines de route dont on connaît les résultats sportifs exceptionnels lors des épreuves nationales (Moto Giro, Milan-Tarente, circuits urbains, etc…). L’accès aux épreuves tout terrain s’est fait progressivement, d’une part à l’initiative de privés qui souhaitaient mettre à profit les performances de ces machines dans ce type de courses mais aussi et surtout lorsque pour des raisons de sécurité les Autorités Italiennes ont peu à peu interdit les grandes épreuves routières traditionnelles à partir de 1957. La première tentative de production d’une machine tout terrain dte de 1955 avec la sortie de la 100 Regolarità. Elle correspondait alors à certaines épreuves (de régularité) à l’italienne. Massimo Laverda lui-même en assura le test et la promotion en effectuant un grand voyage en Europe à son guidon. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() A noter que Garelli produira un modèle quasiment identique réalésé à 150cc, sous licence Laverda, à destination du marché américain, qui s’appellera la Garelli KL 150 Gladiator. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Ces sophistications étaient osées sur une telle machine mais surtout elles entraînèrent un prix très élevé qui limita fortement le succès de la Chott. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Ce 500 trail se révéla surprenamment équilibré et le moteur lui donnait beaucoup de caractère tout en s’accommodant assez bien d’une utilisation offroad rapide. Bien que le développement méritait d’être poursuivi, on sentit tout de suite que çà pouvait être un modèle facilement commercialisable et surtout adapté à sa tâche particulière. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
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